Deux contributions médiatiques bernoises sur le boum des échecs

par Bernard Bovigny

Werner Herzog, vice-président du Club de Zollikofen:«En tant que petit club, nous sommes en mesure de répondre aux besoins personnels des nouveaux membres».

beb - En quelques jours, deux importants médias bernois ont diffusé des contributions intéressantes sur l’augmentation du nombre de membres dans plusieurs clubs de la capitale.

Dans la «Berner Zeitung» et dans le «Bund», Fabian Christl a analysé les causes de l’actuel boum des échecs. Pour son reportage très fouillé «Dichtestress im Schachlokal» (Stress intense dans le local d’échecs), le journaliste s’est entretenu avec le président du Club d’échecs de Berne, Nguyen Ly, et avec le chargé de communication de la Fédération suisse des échecs, Markus Angst.

Il a aussi voulu savoir pourquoi depuis un an et demi le canton de Berne ne classe plus les échecs dans les activités à soutenir – et devient ainsi le seul canton suisse dans lequel les clubs d’échecs ne peuvent pas y faire une demande d’aide financière.

TeleBärn a voulu savoir pourquoi les échecs sont toujours plus appréciés et y a consacré deux minutes de son édition de nouvelles quotidiennes, avec des interventions du secrétaire permanent de la FSE Oliver Marti («De nouveaux membres se précipitent chez nous») et Werner Herzog, vice-président du Club d’échecs de Zollikofen qui fête ses 60 ans («En tant que petit club, nous sommes en mesure de répondre aux besoins personnels des nouveaux membres»).

Le président central de la FSE André Vögtlin se réjouit de cette médiatisation. «C’est un complément idéal à notre projet d’augmentation des membres Generation CHess!»

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